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LA P'TITE REINE'TTE, revue en ligne de l'ALLIANCE SPORTIVE BREVANNAISE section CYCLO VTT

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ptite-reinette

Description :

Récits de randonnées (route et VTT), de cyclosportives, de voyages à vélo, etc.
(L'AS Brévannaise Cyclo est un club FFCT et UFOLEP de Limeil-Brévannes, Val de Marne)

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La Jean Racine VTT (avril 2005)

La Jean Racine (Saint-Rémy-lès-Chevreuse, 78)
Dimanche 10 avril 2005
 
Thierry blessé !
 
« S'il y a une rando à ne pas louper en Ile-De-France, c'est bien celle-ci !!! », me disait Thierry quelques semaines avant le grand rendez-vous. Effectivement, on était là à la Jean Racine : Pascal, Thierry, Laurent et moi. On était parti pour le “70” avec ses 1400 m de dénivelé positif, mais compte tenu du terrain, des chutes des uns et des autres (tout le monde y est passé!), et des pépins mécaniques (problème de ressort de dérailleur arrière pour Pascal), on s'est  finalement contenté du “55”, ce qui faisait quand même environ 60 km au compteur à l'arrivée.

La Jean Racine VTT (avril 2005)Ce jour-là, Seb (Sébastien Vetel, photo ci-contre) reprenait le vélo après quelques semaines d'absence. On l'écoute :
- « Je m'étais inscrit sur le 55 km en ayant comme référence la dernière Jean RACINE que j'avais faite, il y a 4 ans environ, et le fait que malgré mon interruption de vélo j'avais continué le sport (course à pied, piscine). Bilan, bien mal m'en a pris, je dois dire que j'ai été plus que présomptueux sur ce coup-là: limite crampes, stop au deuxième ravito (cuit et puis heure tardive), j'ai donc coupé et suis rentré à St REMY en vélo par la route mais j'ai quand même fait le final avec la fameuse montée du château de la Madeleine : AIE AIE AIE !!!!!!!! Je dois dire qu'en temps normal j'aurais bien aimé la monter en vélo mais là pas possible avec les crampes qui me guettaient je me serais écroulé avant la fin. Bref, je suis quand même satisfait de cette sortie, le circuit et le panorama étaient géniaux, et puis même si j'étais juste physiquement j'ai retrouvé de bonnes sensations et je me suis bien fait plaisir. »


 
De notre côté, on avait dû, à la tronçonneuse, extraire Thierry qui s'était encastré dans un arbre. Malgré une épaule douloureuse, il est remonté sur son VTT. En arrivant à Chevreuse, je dis aux copains : « Thierry n'a pas l'air bien, on devrait peut-être couper par la route ! » Et Thierry de répliquer : « Qui a dit que je ne suis pas bien ?! » Et là dessus, il nous dépose sur place et s'engage dans la montée vers le château de la Madeleine. Arrivé au sommet avant nous, il a même le temps de sortir son appareil photo pour immortaliser l'instant. Impressionnant le Thierry ! Surtout quand on sait que... Mais laissons-lui plutôt la parole :
La Jean Racine VTT (avril 2005)Thierry (photo ci-contre): « Je suis donc allé aux urgences après la douche. Ils avaient une promo sur les radiographies, j'en ai donc profité ! Le bilan n'est pas cool car j'ai fait la montée de la côte de la Madeleine avec une fracture de l'épaule !!!!! En fait, il s'agit d'une fêlure de la tête de l'humérus sous la clavicule (le nom savant est sacrément compliqué, je passe sur les détails). Bref, le bras droit immobilisé pendant 3 semaines, du DiAntalvic (un dopant selon l'UCI !), puis rééducation et enfin... et c'est le moins marrant... 6 semaines minimum sans VTT. Là, c'est plus drôle du tout!... Et comme c'est le bras droit et que je suis droitier, je te laisse imaginer la suite. D'ailleurs, taper un mail avec la main gauche est un exercice surprenant, imagine le reste...
Donc ma saison est complètement foutue. Cela dit, j'ai passé un super moment de VTT à la Jean Racine et j'y retourne l'an prochain, c'est sûr. »
 
Déjà, sur le parcours, dans une descente particulièrement raide où, compte-tenu de la pente et de la nature du sol, nous n'avions pas d'autre solution que de laisser déraper le vélo en espérant ne pas se casser la gueule, nous avions entendu brailler un de ces fous furieux qui roule avec casque, mais sans cerveau :
- « Pousse-toi! »
Le message s'adressait à Thierry qui, bien évidemment, même s'il l'avait voulu, ne pouvait pas se pousser... si bien que notre gogol de service lui est rentré dedans, l'a fait tomber et, pour couronner le tout, lui est tombé dessus... Thierry, tu veux que je te dise, eh bien, ce n'était pas ton jour!...

Décidément, ils sont fous ces vététistes !

Claude

Les photos de Thierry...

La Jean Racine VTT (avril 2005)Pascal et Laurent au premier ravitaillement

La Jean Racine VTT (avril 2005)
Claude (même endroit)

La Jean Racine VTT (avril 2005)Claude, arrivée en haut de la côte de la Madeleine

La Jean Racine VTT (avril 2005)
Devant le château de la Madeleine: Claude, Laurent et Pascal
Tags : VTT 2005, Saison 2005, Nouvel article 2012
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#Posté le lundi 13 février 2012 09:01

Modifié le lundi 13 février 2012 09:21

Raid des Cadoles VTT (juin 2005)

LE RAID DES CADOLES, BAR-SUR-SEINE (AUBE)
DIMANCHE 26 JUIN 2005
Les témoignages de Laurent, Mathieu et Claude
 
Nos amis de l'ASPTT Paris nous avaient proposé quelques places dans le gîte qu'ils avaient loué à Bar-sur-Seine. Finalement, je fus le seul à profiter de leur offre, ce qui m'a permis de me lever un peu plus tard. Deux heures de sommeil en plus, ce n'était pas du luxe avant d'affronter un 80 kilomètres particulièrement costaud ! Le dimanche matin, nos deux jeunes, Laurent Magnier (22 ans) et Mathieu Kolasiak (23 ans) ont fait la route ensemble et sont venus me rejoindre.
Au final, beaucoup de péripéties, d'incidents, d'efforts, de chutes, de blessures et des réactions variées, dont je vous laisse lire quelques extraits...
 
Claude


Raid des Cadoles VTT (juin 2005)Mathieu (penché sur son guidon), Laurent (tee-shirt blanc, casque rouge) et Claude, au premier rang sur la ligne de départ
 
Raid des Cadoles VTT (juin 2005)Le point de vue de Laurent (initialement inscrit sur le 80 km) : Pour ma part, je n'ai pu faire que 25 km ! En tout, j'ai cassé ma chaîne trois fois et donc je ne pouvais pas tenter plus, surtout qu'à ma deuxième intervention, j'ai aussi cassé mon dérive-chaîne.
Enfin bon, je dois dire que les 25 kilomètres m'ont déjà suffi. Je n'ai jamais fait un parcours aussi technique et dangereux : c'était vraiment un raid.
Je ne sais même pas comment Claude a fait pour le 80, je lui tire mon chapeau !
Bon ! Au final, je vais changer ma chaîne et aussi ma cassette !
(Photo ci-contre: Laurent lors de la Jean Racine 2005)
 
Raid des Cadoles VTT (juin 2005)
(Photo ci-contre: Mathieu lors du Rallye des Orchidées 2005)

Le point de vue de Mathieu (60 km):
5h30 sur la selle (avec les temps morts car j'ai paumé mon capteur de compteur) pour faire 60 bornes, dont 10 bornes de boue seulement pour moi, mais dix bornes de descente avec le pied dans les virages pour éviter de glisser (merci les pneus pour terrain sec !) Sinon, raid très éprouvant mais somptueux !

Historique: Bon train jusqu'au premier ravito, poussé par la horde de sauvages qui pédalaient toutes voiles dehors dans les singles du premier tronçon. Au premier ravito, j'ai attendu Claude et Laurent 20 minutes, en vain... Sachant qu'il restait encore 40 bornes à faire, je suis reparti seul, sans mes collègues en jaune et vert, en espérant qu'il ne leur était rien arrivé, et en espérant retrouver un peu de roulant, et moins de singles.
Quelle fut mon hallucination quand je ne vis que du single jusqu'au 2e ravito !... Le single, c'est marrant, c'est technique, les descentes se font tout à la glisse, c'est génial ! Mais bon, ça va 5 minutes. On se fait des frayeurs, c'est dur pour les jambes, les bras, la tête...
Au 2e ravito, sous un soleil qui tape, tape très dur, je recharge mon Camelbak de 2 litres de flotte et je repars à bon train comme au début...
Après 40 km environ, je commence à peiner et à me faire dépasser dans les singles, alors que c'est moi qui dépassais au début, les jambes commencent à picoter, bref je sens que c'est la fin et que je vais souffrir sur les 20 derniers kilomètres (de toute manière, j'ai toujours un creux à 40 bornes).
Encore un peu de singles et enfin on se retrouve sur un terrain large, crayeux, caillouteux, dans les vignes, qui monte, monte, monte, monte, monte, monte... 'tain ! J'avais l'impression que ça n'en finissait pas, mais je montais quand même à mon train, un peu fatigué, comme les gars avec qui je montais. Ah là, personne ne klaxonnait pour passer comme dans les singles, c'était tout le monde à la même enseigne, et tout le monde à petit train.
À ce moment-là, sous le soleil, buvant de la flotte à chaque tronçon de montée (il m'en paraissait mille des tronçons), mon corps commençait à ne plus aller : envie de vomir, envie pour la petite commission et envie pour la grosse et tout ça en même temps. Je vous raconte pas le moral !
Quelle ne fut pas ma joie en arrivant au sommet pour le 3e ravito, près de la stèle de la Sainte Vierge de je-ne-sais-plus-quoi : quelle beauté dans le paysage ! Il fallait bien ça pour me remonter le moral d'autant que le tonnerre grondait sur les 13 km restant.
Après quelques étirements, quelques verres de citron, quelques pâtes de fruits et quelques "WOAH, c'est beau!", je suis remonté sur ma monture en priant d'arriver avant l'orage. Que nenni, à peine le temps de finir ma soi-disant prière que le monstrueux nuage me tombait dessus. Alors là, comme par magie je retrouvai mes forces. J'ai fait les 10 derniers kilomètres, sous la pluie, comme si je faisais une course de XC (Cross Country) : la tête dans le guidon ! À fond ! J'avais retrouvé un second souffle avec la fraîcheur, et des jambes! Bon, ça glissait un peu, donc ça m'a permis de me préserver un peu dans les descentes mais les 4 derniers kilomètres sur le plat.... personne ne m'a doublé! J'étais content d'arriver, sale, boueux, mais en pleine forme (dixit Laurent) à 14h00 !

Conclusion : Heureux d'avoir participé à cette aventure!
- Content de ne pas avoir fait le 80.
- Trop de singles à mon goût mais bien quand même pour le côté TRÈS technique.
- Le cuir du coude droit laissé dans les sous-bois, suite à une glissade impromptue de la roue arrière.

Les leçons tirées: Ne pas se coucher à 2h du mat' quand on se lève à 5h.
- Préférer partir en gîte avec les gars de l'ASPTT.
- Prendre des rations salées car marre du sucré au 3e ravito.
- Faire le 80 km l'année prochaine.
En tout cas, l'année prochaine, même s'il y a trop de singles, j'y retourne, car les Cadoles, c'est une super rando de la mort qui tue tout et surtout les jambes et le moral!
 
Le point de vue de Claude (80 km) : D'abord, je n'ai pas du tout aimé le début. Je n'avais pas fait 5 km qu'un coup de frein inopportun m'a fait passer par dessus le vélo et je suis tombé sur la tête (Qui a dit : « on avait remarqué » ?). Dès lors, je n'ai pas cessé d'avoir la pétoche dès que ça glissait un peu, or ça glissait presque tout le temps : racines, cailloux mouillés, ou simples dévers pas piqués des vers!... J'étais tout le temps crispé, inquiet... Du coup, j'ai rapidement été distancé par les deux jeunes.
Puis j'ai rattrapé Laurent, qui avait cassé sa chaîne, et je lui ai donné un petit coup de main pour réparer. Reparti devant lui, je pensais qu'il allait très vite me rattraper et j'ai été très étonné de ne plus le revoir par la suite. Au premier ravito, je me suis fait mettre un peu de pommade car ma chute m'avait laissé une forte douleur musculaire au cou. Je suis resté plus d'un quart d'heure à guetter Laurent et ne le voyant pas, je suis reparti. Je me suis demandé s'il était passé sans que je le voie ou s'il avait coupé par la route pour rentrer directement... Bref, compte tenu du chemin qu'il me restait à faire, j'ai préféré ne pas attendre plus longtemps.
 
Raid des Cadoles VTT (juin 2005)Claude... avant que ça se gâte!
 
Par la suite, j'ai quand même connu de bons moments, notamment dans la très longue côte dont parle Mathieu. J'étais tellement content de pouvoir enfin me lâcher un peu dans un chemin large et roulant, que j'ai tout grimpé à plus de 20 à l'heure. J'en ai doublé quelques uns qui n'ont pas eu le temps de lire le nom du club sur mon maillot ! (Qui a dit : « frimeur » ?) À l'inverse, je n'ai pas aimé, mais alors pas du tout, le “single” pourri, plein d'une boue glissante (voir l'état du pneu avant sur la photo ci-dessous), une véritable savonnette, qui se trouvait une dizaine de kilomètres avant l'arrivée. J'en ai fait plus de la moitié à pied ! Mais malgré ma prudence, je me suis payé une autre gamelle, avec pour conséquence un joli hématome au mollet gauche, large comme une assiette à dessert (enfin presque !)...
Contrairement à Mathieu, je n'ai pas pris l'orage car le circuit du 80 bornes nous éloignait de la zone arrosée. Quand je suis arrivé sur les lieux du déluge, il ne pleuvait plus mais toute la flotte avait rempli les flaques sur les bords de Seine, des flaques qui couvraient souvent toute la largeur du chemin, avec pas loin de 10 cm d'eau par endroits. Je ne pensais pas voir ça en cette saison. Mais finalement, c'était assez sympa de rouler à fond dans les flaques en soulevant des gerbes d'eau et de boue ! Souffrir de la chaleur au début de la rando et rentrer crotté comme en plein hiver, c'est un comble!
Dans la dernière montée, la flotte dévalait la pente comme dans un petit torrent. J'ai grimpé ça à bon rythme, sans me poser de questions. J'ai fini vers 16h15 et, à part les douleurs dues aux chutes, pas de problèmes musculaires à l'arrivée. Il faut dire que les interminables sentiers sinueux souvent glissants ou dangereux ne permettaient pas les cadences élevées et m'ont obligé, finalement, à ménager la musculature plus que je n'aurais cru au départ.
 
Raid des Cadoles VTT (juin 2005)
Ah, là, ça rigole moins déjà, hein !
 
En conclusion,
Je suis vraiment content d'avoir fait cette randonnée et d'avoir terminé le parcours de 80 km, mais honnêtement, je ne crois pas que je reviendrai. En fait, il y avait sans doute un peu trop de singles et de technique à mon goût. Je me suis même surpris à bénir les trop rares chemins larges et roulants que je n'apprécie guère d'habitude!
Malgré tout, j'invite les amateurs de “Vrai TT” qui ne connaissent pas encore cette randonnée à participer au Raid des Cadoles... Attention, c'est une randonnée qui se prépare! Physiquement et techniquement. Mais franchement, elle vaut le détour, et les « releveurs de défis » ne seront pas déçus du voyage !

Claude

PS: Je tiens à remercier particulièrement Paul et les amis de l'ASPTT qui, non contents de m'avoir accueilli dans le gîte qu'ils avaient réservé, ont lavé mon VTT pendant que je prenais ma douche... Ils sont chouettes les copains!...
Tags : Saison 2005, VTT 2005, Nouvel article 2012
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#Posté le vendredi 16 mars 2012 12:49

Modifié le vendredi 16 mars 2012 13:45

Tour de l'Aitana (août 2005), par Claude

MON DÉFI DE L'ÉTÉ 2005 : LE TOUR DE L'AITANA (ESPAGNE)
7 AOÛT 2005 - 90 km - 1630 m de D+.

Voilà plusieurs années que j'y pensais. Mais cette année, je l'ai fait ! Le tour de l'Aïtana en VTT ! Certes, ce n'est pas le Ventoux, ni le Tourmalet ou le Galibier... Mais c'est quand même le point culminant de la Province d'Alicante, avec un sommet à plus de 1550 m d'altitude. Bien sûr, je ne suis pas allé jusqu'au sommet car l'accès est interdit pour cause d'installations militaires. Mais pour en faire le tour il faut quand même franchir trois cols, dont l'un à plus de 1000 m, et parcourir 90 km, en totalité sur bitume mais avec mon VTT ! Et pour corser le tout, j'avais décidé que l'exploit serait encore plus sympa si je faisais d'abord un petit crochet par le bord de mer, afin de passer de l'altitude "0" à plus de 1000 m!...
 
Tour de l'Aitana (août 2005), par ClaudeLa plage de La Vila Joiosa au petit matin...

Je m'élance donc au petit matin vers “La Vila Joiosa”, petit port et station balnéaire de la Province d'Alicante... Après une petite photo de la plage, au 17e kilomètre, je prends la direction du nord, vers la montagne, pour une première ascension de 28 km environ. Jusqu'à Orxeta, ce n'est d'abord qu'un long faux plat suivi de pentes très raisonnables pour arriver à une altitude de 177 m en un peu moins d'une dizaine de kilomètres. Il y a même des passages où la route redescend un peu... J'en profite pour admirer et photographier le paysage...

Tour de l'Aitana (août 2005), par Claude
Orxeta, avec sur la droite le sommet du Puig Campana (1406 m)

Ensuite, la pente s'accentue un peu. D'Orxeta à Sella, ce sont 7 km de montée à 3% de moyenne. Suivent 8,7 km d'ascension à 4,8% pour arriver au pied du col proprement dit. La montée finale à 5,8% ne dure qu'un peu plus de 3 km. Rien de très dur en vérité, mais c'est long! D'Orxeta au sommet du Port de Tudons, ça monte pendant presque 19 km pour un dénivelé positif de 885 m à 4,67% de moyenne.

Tour de l'Aitana (août 2005), par Claude
Sella, au pied de la Serra (montagne) de Sella

Vingt-huit kilomètres après avoir quitté la plage et l'altitude "0", j'atteins le sommet du premier col, le Port de Tudons, à 1024 m d'altitude.
 
Tour de l'Aitana (août 2005), par Claude
Ensuite, je plonge dans une vallée de l'arrière-pays où je n'étais jamais allé, alors que ça fait la bagatelle de 50 ans que je vais en vacances dans la région ! En fait, on n'y va jamais en voiture... parce que c'est trop loin!... Ça fait plaisir de savoir enfin à quoi ressemble l'autre côté de la montagne!...
 
Tour de l'Aitana (août 2005), par Claude
Vue partielle de l'Aitana (1558 m), versant nord

Au bas de la descente, brève portion de plat suivie de 7 km d'une nouvelle ascension pour franchir un deuxième col, le Port de Confrides, à 980 m d'altitude. Une pente moyenne de 4,66%, à l'exception du dernier kilomètre à 7%.
Au cours de cette montée, je commence à me demander comment je vais faire pour aller au bout ! C'est qu'il fait particulièrement chaud dans cette vallée, entre midi et 13h, en plein mois d'août ! On n'a plus le petit vent de mer dont on bénéficie sur le versant sud de la montagne ! Et il y a peu d'ombre sur cette route, si bien qu'à chaque arbre, je m'arrête pour profiter d'un peu de fraîcheur... J'en profite aussi pour manger et boire... Je constate que mes réserves de liquide s'amenuisent. Je suis parti avec plus de 4 litres sur le dos (poche à eau + bouteilles de boissons énergétiques), sans compter le bidon... Et il ne me reste plus grand chose! Sur cette portion, pas de photos! Je n'ai plus la tête à ça! Pas de vrai découragement cependant. Après chaque arrêt, je repars en me disant que je finirai bien par arriver au sommet...

Pas de photo non plus en arrivant au Port de Confrides. Trop fatigué! J'aborde la descente avec l'esprit préoccupé... Car l'heure tourne et après cette descente, il reste un dernier col avant la descente finale et le retour "a casa"... Ni très haut, ni très méchant, ce col! Mais je ne me sens pas la force d'enchaîner après celui que je viens de grimper. Je trouve une cabine téléphonique pour appeler la maison et dire que "tout va bien" (menteur?) mais qu'on ne m'attende pas!... J'ai décidé de m'arrêter quelque part pour me restaurer, refaire mes réserves de boisson, me mettre à l'ombre le temps que la température baisse quelque peu... ou que mes forces reviennent!

C'est ainsi que je fais halte dans un restaurant typique de Confrides, village de montagne bâti à 785 m d'altitude... Après une petite heure d'arrêt à la fraîche, quelques nourritures traditionnelles savoureuses et plus d'un litre de flotte ingurgités, je sens que mes forces sont revenues.

Je remonte donc sur mon vélo et j'aborde les 8 km de descente douce jusqu'à Benimantell. La preuve que je vais mieux: je me remets à apprécier les paysages et à prendre des photos.

Tour de l'Aitana (août 2005), par Claude
Vue du lac de Guadalest, depuis la route de Confrides à Benimantell.
Au fond à droite, le sommet de la Sierra de Bernia (1129 m).
 
Encore 2,4 km de montée pour franchir le dernier col à 682 m d'altitude. Il ne me reste plus qu'à négocier le retour par une longue descente d'environ 14 km et près de 600 m de dénivelé négatif, avec tantôt des arrêts "photos", tantôt des pointes à plus de 70 kilomètres à l'heure lorsque la pente dépasse les 10%... Alors que sur les hauteurs, l'air et l'altitude maintiennent une sensation de relative fraîcheur, dans la partie basse de la descente, j'ai l'impression de pénétrer dans un four. Il est 16h quand j'arrive enfin, l'heure à laquelle les Espagnols font la sieste, l'heure où seuls les imbéciles et les fous furieux mettent le nez dehors...
 
Tour de l'Aitana (août 2005), par ClaudeVue sur la Marina Baixa et la baie d'Altea

Malgré une chaleur par moments accablante qui a nécessité l'absorption de 5 à 6 litres de boisson sur l'ensemble du parcours, je garderai en mémoire ce régal de paysages que j'adore et au final l'immense satisfaction de l'avoir fait en VTT, avec en prime mon premier reportage "cyclo-photographique", dont cet article vous a présenté quelques échantillons !

Claude Sintès

Tour de l'Aitana (août 2005), par Claude
Malgré le plaisir, pas fâché d'arriver... Et après la photo: piscine!...
Tags : Saison 2005, Nouvel article 2012, VTT 2005
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#Posté le vendredi 16 mars 2012 04:22

Modifié le vendredi 16 mars 2012 11:39

Week-end des vététistes (septembre 2005)

WEEK-END DES VÉTÉTISTES: LA GAMELLE TROPHY 2005
SEPTEMBRE 2005

« Ils avaient dit qu'ils m'attendraient ! »
par Mathieu Kolasiak

Week-end des vététistes (septembre 2005)
Il parait qu'il est de légende à l'ASB que le néophyte du groupe raconte « sa » Gamelle Trophy, donc, moi-même, Mathieu Kolasiak, neveu du patron, première année au club, vais vous conter ma cavalcade de 50 bornes sur mon cher destrier anthracite.
Donc, la Gamelle Trophy, c'est comme le Mont Griffon et le bois de la Grange par chez nous, sauf que c'est pas pareil ! Essayer de regrouper 1200 mètres de dénivelé sur 50 kilomètres au Mont Griffon et vous comprendrez. De même, si quelqu'un arrive à loger 3005 personnes, une dizaine de courses et un trail (course à pieds), sur la seule allée Royale et allée Sainte Catherine à Yerres, ben chapeau ! Bref, c'est différent, à part quelques cailloux par-ci par là, certaines racines, des petits grains de sable, et quelques arbres qui traversent aussi les chemins sans regarder.
Et bien, à Sillé le Guillaume, ils savent faire, il suffit de planter des pancartes sur des arbres, de gonfler un viaduc en plastique, et de mettre quelques godets de flotte et des rillettes sur une table toute les 10 bornes. Je me demande quand même comment ils font pour placer le caillou ou la racine nécessaire à l'entrave du VTT.

Trêve de bavardage, terminons cette introduction.
 
Mon jouet affûté chez un bon bouclard un jour avant le départ, je peaufine ma valise :
« Surtout ne pas oublier les maillots jaune et vert, pour éviter une syncope à mon oncle ! »
Samedi matin, arrivé à l'heure au point de rendez-vous (ndlr :pour une fois ! hein les gars !). Un arrêt à Villecresnes, et toute une troupe de vététistes en jaune et vert, et en jaune et bleu (nos amis de l'ASPTT), avale les quelques 250 kilomètres qui nous séparent de l'antre sarthois du Vtt.
C'est ma première réelle sortie avec les troubadours de l'ASB. Les amateurs de boue et les routiers s'entendent très biens, tellement bien que je me demande si l'on part pour faire du sport ou pour faire la foire. Moi qui pensais que l'on ne pouvait pas lier les deux, eh bien si, à l'ASB.
Premier repas très équilibré au gîte (ironie ?): charcuterie, fromages, apéros, vins et flancs à volonté, de quoi préparer son corps à l'effort, tout du moins, un effort pour la sieste plus que pour le cyclisme ! Néanmoins la trentaine de vététistes, dont certaines jambes sont lourdes et certains guidons sont tordus sous des effets optiques non contrôlés, s'engagent sur les départementales bosselées et bitumées, direction le point de départ de la Gamelle ! Trente bornes avalées sous le signe de la rigolade pour certains, trente bornes pour se tester et contrôler la qualité du jambon brévannais pour les autres (ndlr : les jambes !). Après une bonne douche, rebelote pour le dîner, avec un repas plus équilibré par l'apport de pâtes, mais toujours aussi festif ! J'opte pour le repas du sportif : pas d'alcool, et un repas léger mais suffisant pour bien dormir.



Week-end des vététistes (septembre 2005)
La nuit fut courte, le sommeil léger, malgré tout le confort du corps de ferme où nous dormions. La lune éclaire encore les champs et les vaches alentours quand le réveil s'ébranle.
Petit-déjeuner copieux avec des substances faciles à digérer, autour d'un saladier de rillettes pour les plus téméraires.
7h30, départ en car pour le point de départ de la Gamelle. Les jambes sont froides, le corps est encore engourdi par le sommeil, le jour tarde à se lever, les nuages restent bas, l'humidité refroidit l'ensemble de nos muscles, et soudain, le soleil apparaît... avec la pluie, et le moral qui disparaît.
Ce n'est pas deux gouttes de flotte qui vont faire peur à des vététistes qui pédalent à longueur de saison dans la boue, quand même... et puis de toute manière, maintenant qu'on est là, on a plus le choix !
8h00, les destriers sont nerveux, la longue attente des retardataires (problème de logistique tee-shirt) fait trembler les mollets. 8h15, les mollets n'ont pas tenu, les furieux de l'ASB, Alain, Maryan, Pascal, Alain, Sébastien, et moi-même, partons chauffer la mécanique sur les premiers monotraces de la boucle. Echauffement raccourci par Sébastien qui emmène déjà le troupeau à bon train, « du moment que les guiboles tiennent ! ». (Ndlr : Claude m'avait conseillé de rester dans sa roue et de ne pas partir en trombe. Raté !)
La forêt est magnifique, les chemins non poussiéreux (ndlr : merci la pluie), et il pleut moins sous les feuilles des arbres (ndlr : logique !). Le paysage ressemble à celui de Fontainebleau, à la différence que les couleurs sont ici plus vives et moins ternes, on sent qu'on est loin de Paris et de son nuage gris : petite mousse verte sur petit caillou gris, petite pellicule d'humus sur petit sentier.
Les raidillons s'enchaînent et la technicité des vététistes l'emporte sur l'endurance des routiers (ndlr : héhé !). L'assemblage des deux pratiques permet au groupe de tenir un bon rythme, les routiers encourageant les terreux dès le moindre morceau de plat, et les terreux poussant les routiers sur les zones techniques et abruptes (Secret de l'auteu r: La réussite d'un passage technique est dans la domination de mademoiselle la roue avant !)
Les descentes, et les kilomètres s'enchaînent. Pascal est victime d'un double soleil avant sur une descente type « le cul sur le pneu » ! Le premier ravitaillement (10 e kilomètre) a raison de notre trésorier qui préfèrera attendre le peloton suivant. La pluie s'est calmée, la chaleur est revenue, les muscles sont chauds, chacun remets ses bras-nus. Je ferme la porte du groupe, préférant examiner et copier l'allure de mes coéquipiers (ndlr : pour préserver mes jeunes jambes non expérimentées). Sébastien, alias « dumomentquelesguibolestiennent », relance et relance encore. Le petit plateau devient inexistant, même dans les raidillons jusqu'au deuxième ravito.
Le 20 e kilomètre aura eu raison de Sébastien ! Les deux dangereux que sont Pascal, alias « Ariane 6 » et Alain (ex-cyclocrossman), ne me permettent pas de reprendre mon souffle. Ca repart de plus en plus belle avec Alain qui a décidé de se faire plaisir... et de nous faire peur en nous empêchant de toucher aux freins pour recoller à sa roue dans les descentes. Néanmoins, Pascal et moi-même suivons de loin, les nombreux vélos, difficiles à doubler courtoisement sur les monotraces du circuit, nous obligeant à attendre le premier élargissement du tracé pour passer.

Je profite d'un raidillon plus long que les autres pour déposer Pascal, retenu par un vététiste qui n'a pas daigné laissé le passage libre, et rattraper Alain. Je me retrouve, à mon tour, à la tête du peloton aux alentours du 30 e kilomètre. La boucle du circuit du 50 délaissant de nombreux vététistes du 40, nous sommes plus au calme, et traversons maintenant un bourg.
Quel accueil ! Acclamés, encouragés dans les bosses, les familles sont sorties pour voir passer la Gamelle, et je les remercie vivement au nom de l'ASB. (ndlr : vraiment très sympathique !)
Je ne vois plus mes acolytes, qui pourtant me collaient au train. J'en profite pour faire remonter la sauce. Je me sens bien, les muscles et l'esprit réagissent merveilleusement, toutes les conditions sont présentes pour terminer la randonnée en beauté, jusqu'à la prochaine ronce, deux points, ouvrez les guillemets (Ndlr : et couchez les enfants ):
« Put... de bor... de mer... de ronce qui me fait ch... ! »
Je crève de la roue arrière juste après la jonction 40-50 kms. Une vingtaine d'épines dans le pneu, une vingtaine de trous dans la chambre à air. Plus de 5 minutes à nettoyer le pneu. Alain et Pascal passent :
«  C'est bon t'as tout ce qu'il faut ? T'as pas besoin d'aide ? »
Merci les gars, c'est gentil !
«  On va rouler cool pour t'attendre ! »
J'ai mis 10 minutes pour réparer ma roue arrière, la vague du 40 m'est passée devant, j'ai de la boue plein les mains, et j'ai froid aux jambes. Tu parles qu'ils ont roulés cool ! J'ai eu beau pédaler comme un dératé jusqu'à l'arrivée, m'arrêtant à peine au dernier ravitaillement alors qu'il y avait du rouge et des rillettes, mais rien n'y a fait. J'ai terminé ma Gamelle Trophy seul, sur un terrain plus cassant au fur et à mesure que le beurre fondait sur la selle. Enfin, après avoir traversé un dernier gué (ndlr : sympas les petits gués à Sillé), après avoir écumé un dernier chemin rocailleux, mousseux, glissant, à trace « pneu de tracteur », la pancarte « Arrivée à 1 kilomètre » se profile devant mes yeux, juxtaposée à une balise stipulant « A droite », sauf qu'à droite, il n'y avait pas de chemin, à droite il y avait un mur !
La dernière bosse fut longue et difficile. Imaginez que vous rouliez sur un chemin qui longe un ravin d'un côté, et qui de l'autre décrit le versant d'une montagne. Soudain, le chemin disparaît, il ne vous reste plus qu'à escalader, en vélo bien sur, sur le petit plateau, ce fameux versant.
A droite donc il y avait ce fameux raidillon, que les plus découragés grimpaient à pieds à la force du moral, qui permettait de brûler les dernières vitamines. Un chemin de bosses après, je terminais sous l'appareil photo du président, heureux d'avoir retrouvé Pascal et Alain, arrivés peu de temps avant moi, et content de mon 14.5 de moyenne pour 3h25 de pédalage, chrono honorable pour une première participation.
Une bonne douche et un bon repas nous attendaient au gîte. Chacun exprimai ses douleurs et ses joies quant à cette randonnée, qui, c'est certain, ne laisse jamais personne indifférent.
Le retour se faisait sentir, les vélos étaient rangés, et les bagages clos, j'aurais voulu me réveiller à nouveau afin de recommencer cette randonnée.

• Bravo à mesdemoiselles les vététistes de l'ASPTT qui ont égayés nos soirées et apportées quelques brins de sourires à cette randonnée pluvieuse,
• Bravo aux vététistes de l'ASPTT pour leur collaboration sur le parcours,
• Bravo à Paul et à Réjane, qui ont parcouru en tandem,
• Bravo à Claude, qui se satisfait d'avoir terminé les 50 bornes à bon train sans crampes, malgré les vététistes non courtois, qui jouent du coude dans les montées,
• Bravo à Eric, Christophe, Alain pour leur chants,
• Bravo à mon oncle et notre président qui a terminé à pied, le dérailleur dans une main,
• Bravo à Pascal, Alain, Sébastien, pour le plaisir qu'ils se sont procurés,
• Bravo à Gérard, à Michel qui a réalisé ici sa première randonnée vtt depuis son opération,
• Merci à Monique, Yvette, Isabelle, pour leur gaieté,
• Merci à Laurent, pour avoir su faire voyager nos montures,
• Merci à Pascal, de nous avoir laissé salir son beau car,
• Merci à l'ASPTT pour le très bon repas du samedi soir, pour le petit déjeuner, et le repas du dimanche midi.
• Merci à l'ASB et à l'ASPTT pour la bonne ambiance, et quelle ambiance !

Mathieu KOLASIAK
Tags : Saison 2005, VTT 2005, Nouvel article 2012
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#Posté le lundi 13 février 2012 03:03

Modifié le lundi 13 février 2012 03:51

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