Stage Marcel SARRAZIN, Hôtel «PLEIN-SUD» HYÈRES
du 14 au 21 Mars 2009
par JPB
Samedi 14 mars

Samedi 15h30, arrivée ensemble sur place, devant ce magnifique Hôtel « Plein-Sud à Hyères-les-Palmiers, à deux pas du bord de mer, moi en voiture avec Michèle (Ophélie est en garde chez Josette BREPSON, merci à la « maman d'accueil ») partis depuis 6h00 ce matin !!! Eux, c'est-à-dire tous les autres, venus plus confortablement en train, départ Gare de Lyon vers 11h00... Cherchez l'erreur !
Ce n'est pas un scoop, dans le Var, il fait beau et ce qui retient tout de suite l'attention, c'est la luminosité et la flore (palmiers, pins parasols, la fin des mimosas, genêts) que nous offre cette région méditerranéenne. Le lever du soleil, le bleu du ciel et celui de la mer, entre pins et palmiers, quel dépaysement ! Rien que pour cela, ça vaut le déplacement et en plus, on va faire du vélo, alors tout est parfait. Installation, discours de bienvenue, pot d'accueil, souper au 3ème étage du restaurant « panoramique » avec vue sur la mer et repos bien mérité en attendant demain.

Dimanche 15 mars
Ce dimanche matin, je retrouve tous mes « camarades cyclosportifs » qui ont bien voulu m'accepter parmi eux, et ce fut un grand plaisir pour moi. Nous serons 11 de l'A.S.B. à rouler et une soixantaine au stage. Avec Michèle et Mauricette, — nous ne sommes pas superstitieux — nous serons 13, mais sur deux tables.
A 8h30, l'air est frais mais le soleil est là. Première rando de la semaine, je suis un peu inquiet, une soixantaine de kilomètres est au programme. N'ayant pas roulé depuis un mois, je vais être prudent. Direction l'Ouest, nous longeons la mer dans un premier temps et à peine chauds nous attaquons le « Mont des Oiseaux » (environ 4 km / 4% de moyenne). Quelle merveille, petite route étroite et «privée» qui serpente sous les pins parasols. A quelques mètres de l'arrivée, le manque de «roulage» se fait sentir et j'ai un coup de moins bien au sommet. Il me faudra quelques minutes et un petit encas pour récupérer. (En voyant le site, on comprend mieux comment on a pu perpétrer l'agression mortelle sur Yanne PIAT : étroitesse et discrétion des lieux, où l'on vous recommande de ne pas parler trop fort pour l'environnement résidentiel !!! (Si si !...) Mais où l'on peut «assassiner» quelqu'un. Parler, non ! Tirer, oui).

Je vais m'abstenir de rouler l'après-midi, je ferai du tourisme avec Michèle et Mauricette, toujours jeune et en pleine forme, nous visitons Bormes-les-Mimosas. Les autres couvriront une quarantaine de kilomètres pour clore cette première journée.
Lundi 16 mars
Lundi matin 8h30 : rebelote et soleil de der, beau temps nous avons toujours de la chance. Aujourd'hui, après être passés à La Londe, nous attaquons le programme des réjouissances par le Col du Gambet, régulier, bien asphalté (3 à 4 % de pente), c'est une montée agréable. A l'arrivée, les premiers, François FINE, Patrice CARETTI, Pascal LECLERCQ, nous prennent en photo, ainsi que Gérard, qui va compléter son site (voir Michel CANTALOU qui a son adresse mail). Pignans, Flassan (village où habite un ami de Bernard MUTEL), et nous faisons la pause pique-nique, accueillis par le club local, à Besse-sur-Issole. Le soleil sera de la partie toute la journée. Redémarrage sur Ste-Anastasie-sur-Issole. Petite déception, mon pote Jean-Claude SURTEL, ancien «Parisien» émigré dans ce village varois, suite à des soucis électriques dans sa maison, n'a pas pu se joindre à nous. Ce ne sera que partie remise, je pense à lui en traversant sa commune. Il faudra ensuite se faire la digestion en escaladant le Col de Rocbaron, facile, 2 où 3% mais la bonne surprise sera la redescente sur Cuers, route large, bande blanche sur les côtés, revêtement parfait, pas de circulation, on se prend avec François pour des «champions», on soigne les trajectoires, griserie de la descente. Le retour au Plein-Sud à Hyères se fera sans encombres vers 14h30, 107 km au compteur.

Après avoir «garé» nos montures, l'emploi du temps est réglé, piscine avec hammam, en fin d'après-midi, pétanque jusqu'à une certaine heure où les moustiques locaux commencent à nous attaquer en règle. Heureusement, apparemment, ils restent sur le terrain de boules. Entre temps, quelques bières ou cafés, pris au bar ou sur la terrasse, au soleil, face à la mer, le bagne quoi ! Quelle aventure !!!
(à suivre)
Michel C., Posté le jeudi 22 décembre 2011 04:25
Raisonnable, il fut notre 'Wouarin' : peu de pruneaux, quelques litres de rosé en moins,
au tilleul-menthe, chercherait-il à me repasser devant ? Va falloir que je fasse gaffe !
(Transfert d'un commentaire du 31 mars 2009)